Interview avec ambassadeur Leo Bormans

Leo Bormans sur le bonheur au travail:

Le bonheur n’est pas à vendre, mais il peut être fait. Nous pouvons influencer de 10% à 40% de notre sentiment de bonheur, en partie grâce à un état d’esprit positif. Et nous n’avons donc pas besoin de nous limiter au terme prudent de «satisfaction». Le bonheur est quelque chose que nous pouvons certainement dire dans notre bouche. Si vous constatez ensuite qu’un employé flamand sur trois n’est vraiment pas satisfait au travail, pouvons-nous continuer à accepter cela? Ne devrions-nous même pas faire quelque chose à ce sujet ?

Cependant, nous ne le résoudrons pas en encombrant les bureaux de ballons et de smileys ou par des initiatives lâches et sans engagement. Nous devrons aborder les choses différemment, notamment en faisant des choix fondamentaux en remplaçant la GRH par la HBM. Il ne s’agit plus de gestion des ressources humaines mais de gestion des êtres humains. Après tout, nous ne sommes pas des actes humains, mais toujours des êtres humains.

Le plaisir est une condition de base pour être un peu heureux. Mais il y a aussi 2 niveaux plus élevés que nous pouvons aborder. Et ceux-ci ont à voir avec notre engagement (nous aimons vraiment faire des choses) et avec une vie significative (nous voulons faire des choses valables et significatives). Et si les organisations peuvent y contribuer, nous sommes sur la bonne voie. Tout d’abord, que nous pouvons déjà nous amuser un peu au travail. Mais aussi que nous pouvons faire des choses significatives, montrer notre engagement, avec les autres, pendant que nous pouvons être qui nous sommes et devenir ce que nous voulons devenir. Et lorsque notre travail peut donner un sens et un sens à nos vies, il peut contribuer non seulement à notre bonheur au travail, mais aussi à notre bonheur en général.

Plus sur Leo Bormans sur www.leobormans.be

En savoir plus de la Semaine du Bonheur au Travail ?